Dans notre vie, le stress nous accompagne sans arrêt. Nous sommes construits pour assurer notre survie aussi. Depuis l’origine des temps, la vie des hommes a changé mais notre cerveau un peu moins. Nous avons l’effet d’angoisse en nous pour une partie de golf en compétition ou en entraînement.
Le stress est-il physiologique ou psychologique ?
Les deux mon capitaine. Une carence en hormones entraînera du stress continu chez une personne, l’anxiété par exemple…L’organisme demande une adaptation selon chaque personne. Le joueur de compétition imaginera son activité humaine, une phase de vie à apprendre.
Nous devons préciser un point important, il est très peu souvent souligné dans l’enseignement du golf. Le rôle de notre cœur touche le stress.
Le cœur avec ses 40000 neurones est le régulateur, l’horloge de nos 7 cerveaux identifiés.
Chacun a sa façon, sent naître du stress dans la tête bien sûr, mais aussi l’intestin, la peau…Nous avons des neurones dans tous nos systèmes de vie.
Les gens ne sont pas toujours conscient de cette situation humaine. Les joueurs ne pensent pas établir leurs relations internes pour établir leur performance. Les enseignants ont aussi leurs difficultés personnelles dans leur activité. Parfois leurs relations externes dans coaching deviennent compliquées pour les résultats espérés.
Harmonie du corps et de l’esprit
Nous devons admettre que notre éducation nous demande d’être en équilibre dans notre vie. L’équilibre du corps et de l’esprit est une recherche journalière . Tout change à chaque instant en nous et autour de nous dans les moments de vie.
Le seul moyen de jouer au golf (comme dans n’importe quelle de nos activités) est d’être en harmonie avec ce que l’on est en train d’accomplir.
L’instant présent n’est pas un vain mot : le seul qui pour soi permet d’agir sur l’avenir.
L’envie de jouer quand on a été sevré par une semaine de travail ou un obstacle plus long entraîne du stress.
Du bon stress qui va nous permettre d’être concentré sur les fondamentaux du jeu. Chacun aura constaté que chaque fois que l’on revient après une coupure, on joue bien un moment. Jouer au golf ou tout autre activité sur un nuage spirituel nous est arrivé à tous .
Le conflit des cerveaux
Le problème en nous sera quand tout d’un coup notre ego se fait sentir. Suivant le tempérament de chacun on aura des résultats différents : on sur-joue ou sous-joue.
Entendez par là que nous voulons jouer notre golf de façon précise. Attention, de notre jeu passé nous connaissons les erreurs commises et nos réussites. En vrai, notre jeu ne nous le permet pas. Pour jouer notre bon jeu, nous avons du mal à utiliser nos connaissances.
C’est là que le conflit entre nos cerveaux apporte du stress et dérègle notre jeu « naturel » du début. Le contrôlant est le cortex préfrontal, mais l’exécutant, celui qui génère le mouvement est le subconscient. Ils ne parlent pas le même langage. Notre jeu acquis lié à nos mémoires est parti en fumée.
Cette prise de conscience peut être personnelle, mais peut venir de l’extérieur plus ou moins consciemment. La réflexion d’un de nos compagnons de parcours, le fait qu’un d’entre eux joue très bien ou au contraire très mal nous pousse à comparer ce qui a été réalisé.
La fatigue de fin de semaine ou la décompression peut s’en mêler aussi. Parfois l’ego intervient pour nous dire que le jeu ne se fait pas. La confiance ou le doute s’insinue pour perturber notre partie engagée.
Nos objectifs de plaisir ne se sentent pas toujours sur un parcours.
Le jeu de golf facteur de stress
A ma connaissance le jeu de golf est un facteur de stress. Chaque situation de jeu est nouvelle. Notre apprentissage technique ne nous parle pas de cela. Envoyer une balle est confortable à l’entraînement, on répète. Le jeu sur le parcours, ce n’est rien de tout ça, chaque balle est nouvelle.
Un coup au fer est un processus complexe. Il demande une rigueur permanente pour préparer la meilleure action possible. Les prises d’information et de décision sont multiples. Toutes ont leur importance pour mettre le subconscient dans les meilleures conditions de réussite.
Ce qui se passe alors dans cette phase de concentration est une histoire personnelle. Chacun se prépare selon sa connaissance apprise dans sa jeunesse. Pour un bon joueur souvent cela se passe ainsi surtout s’il a des bagages intuitifs révélés lors de son passage en université.
Pour un entraînement complet, l’exercice physique est toujours associé au stress et au mental.
La visualisation de son modèle est une phase importante à observer de manière régulière . Cette technique d’apprentissage concerne en particulier les jeunes joueurs qui apprennent le golf ou les compétiteurs dans leur objectif.
Notre organisation est aussi facteur de stress
Nous avons noté que le stress pouvait être physiologique. Un parcours est fatiguant parce que le cerveau est fortement sollicité et notre corps aussi.
Comme je vous l’ai déjà dit, la façon de jouer comprend une organisation juste:
Une alimentation adaptée à la saison des parties.
Une hydratation correcte selon le parcours où aura lieu la partie.
La respiration est a mener avec attention sur l’ensemble du parcours de toutes les parties.
Ne jamais oublier que nous avons un rythme de vie biologique. Des émotions nous traversent venant de notre intérieur comme de l’extérieur. Elles drainent notre énergie, la bloquent parfois en induisant des comportements et des sentiments qui influencent notre jeu.
Le golf est un jeu sérieux si l’on veut prendre du plaisir et éventuellement être performant.
Pour une partie, l’objectif du jeu est de faire le moins de coups possible. La définition du tournoi ou de la saison est un programme à mettre en place aussi.
Le stress est quoi que l’on en pense déjà senti sur le tee n°1. Parfois même avant à l’échauffement physique au practice. Le joueur sérieux doit bien se connaître pour être plus relâché en démarrant sa partie.
Il est nécessaire d’accepter l’erreur quel que soit le niveau de jeu d’une partie engagée entre le joueur et son cadet. Cette acceptation l’entraîneur ou le coach l’enseignera pour les meilleurs joueurs amateurs ou professionnels impliqués dans leur saison de jeu.
Rester humble et lucide, sera sur toute une saison le comportement convenable du joueur pour maîtriser son résultat de jeu.
Comment se préparer à un niveau de jeu constant ?
Programmer sa partie en revenant au calme. Respirer pour être le plus décontracté possible. Ce sont des apprentissages à souligner dès la jeunesse du joueur.
Le fait de visionner son modèle de joueur choisi quelques minutes chaque jour, ce sera une sorte de méditation golfique.
Regarder son bon joueur de golf, nous donnera du bon jeu.
Nous sommes dans ce cas dans les neurones miroirs qui activent les neurotransmetteurs.
Nous prenons alors de la dopamine en action le matin. La sérotonine viendra aussi. Joe Dispenza et Bruce Lipton nous disent comment cela arrive.
Pour un jeu constant, mimer le geste du modèle nous guide régulièrement entre deux parties et apprivoise notre équilibre.
Lorsque nous imaginons des coups d’essai, notre pensée nous rend presque toujours efficace.
On le « sait » intérieurement avec l’entraînement…
Alors initions ce mouvement pour comprendre combien notre essai est porteur de réussite.
Ce cérémonial virtuel est une clé pour acquérir de la confiance en soi. A chacun de le découvrir selon son tempérament.
Golf: ne pas penser qu’aux gestes
Pour les joueurs de compétition, une autre clé est de s’entraîner comme en partie en décidant son objectif de score . Un joueur a plusieurs intentions de jeu à mettre en forme. Pression d’organisation mais encore plus d’intellectualité et de mentalité. Cela ouvre des horizons vers la constance du jeu.
Pour terminer une manière d’éviter des sautes d’humeur, pour ne pas vraiment jouer, imaginez aussi de méditer.
Nous n’aimons pas entendre ce terme, une galéjade. Pourtant c’est d’une grande puissance, j’en témoigne : cela fait appel à la cohésion physique et psychologique du jeu futur.
Nous verrons plus loin que la méditation ou la connaissance de l’EFT deviennent importantes pour garder son âme de joueur calme et reliée à soi.
Beaucoup de joueurs pensent que ce stress n’est pas contrôlable. Méthode GE2M vous donne des informations utiles pour satisfaire votre envie de jouer .
Prochainement, vous aurez des pages de plus en plus précises sur la meilleure manière de jouer par vous-même et d’avoir le résultat que vous souhaitez.
A suivre…
Michel Prieu
*** En golf, le stress est toujours présent dans votre vie et demande une compréhension puis une adaptation de l’organisme.
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